Nous appuyons le travail de vrais guérisseurs amazoniens. Le problème est le manque de préparation et la naïveté de ceux qui veulent tenter l’expérience alors que l’Ayahuasca demande une initiation très longue de plusieurs années en étant toujours sous contrôle de maîtres ou de spécialistes. Nous ne nous prononçons pas contre l’Ayahuasca, qui peut avoir des effets bénéfiques, mais nous nous opposons fermement à ce type de commerce et de tourisme particulier.
La Miviludes s'inquiète des dérives du néo-chamanisme
14 commentairesCréé le 19/08/2011 à 18h01 -- Mis à jour le 19/08/2011 à 18h01